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Quelques attraits pour la Société par Actions Simplifiée (SAS)
mercredi, 12 octobre 2011 15:39 Écrit par La rédactionIntroduite dans notre droit par la loi du 3 janvier 1994, la SAS, Société par Actions Simplifiée est dans un premier temps restée confidentielle, car alors réservée à des personnes morales d'une certaine taille. Démocratisée par la loi du 12 juillet 1999, la SAS allait alors connaître un essor particulièrement important puisque répondant à la demande de liberté des entreprises dans leurs choix statutaires, notamment en matière d'organisation interne, de contrôle de l'actionnariat, de mode de décisions collectives.
La SAS est donc désormais ouverte à tous, il n'existe pas de capital minimum, toute personne physique ou morale peut être associée, l'obligation de désigner un commissaire aux comptes ayant en outre disparue pour les sociétés de petite taille. Sont considérées comme telles les sociétés ne dépassant pas deux des trois seuils prévus (1 000 000 d'euros de total de bilan – 2000000 d'euros HT de chiffre d'affaires – effectif moyen de 20 salariés).
Les grandes lignes de la Loi de Finance 2010
La loi de Finance 2010 s'inscrit dans un contexte qui reste exceptionnel. En 2009, la crise financière s'est étendue à l'ensemble de l'économie. Face à l'ampleur de cette conjoncture, la Loi de Finance 2009, complétée par deux lois de finances rectificatives respectivement adoptées en février et en avril dernier avait déjà mis en œuvre tous les moyens, budgétaires et fiscaux, au service du soutien de l'économie et des français les plus fragilisés par la crise. Une action qui commence à porter ces fruits au regard des premiers signes actuels d'une reprise économique. Le projet de Loi de Finance 2010 s'inscrit dans cette période tran-sitoire de reprise et se fixe deux objectifs majeurs :
Esprit entrepreneurial : La France se découvrirait-elle des ressources insoupçonnées ?
mardi, 01 septembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction 272.000 entreprises créées au premier semestre 2009, pour un total de 327.000 sur toute l'année 2008. Cette explosion de créations, qui révèle une volonté d'entreprendre surprenante, permet au gouvernement de viser plus de 500.000 créations en 2009. Panorama et analyse.
Dépassant largement les objectifs qui avaient été fixés par le Secrétariat au Commerce, l'apparition du nouveau régime d'auto-entrepreneur explique pour une grand part cette frénésie de créations d'activités.
Le statut d'auto-entrepreneur, un succès historique
Créé le 1er janvier 2009, ce sont 182 000 personnes (67 % du nombre de créations total sur la période) qui ont été enregistrées sous le régime d'auto-entrepreneur au premier semestre.
Le mardi 21 juillet 2009, Hervé Novelli, Secrétaire d'Etat au Commerce qualifiait les résultats de «....succès impressionnant», alors que le gouvernement tablait initialement sur 200 000 auto-entrepreneurs pour l'ensemble de l'année. Ce statut a été choisi par 17 000 personnes qui étaient déjà à la tête de micro-entreprises, mais aussi par 165 000 salariés, chômeurs, retraités ou étudiants qui ont profité de ce régime simplifié pour créer une activité, à titre principal ou complémentaire.
Ces organismes qui assurent la promotion des territoires…
jeudi, 02 octobre 2008 00:00 Écrit par La rédaction
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À l’heure du bilan du Salon Top Résa, qui s’est tenu du 16 au 19 septembre dernier, force est de constater que le secteur du tourisme reste particulièrement dynamique.
France et pays étrangers, villes, départements ou régions, tous ont, durant cette manifestation, déployé leurs meilleures cartes propres à séduire les acheteurs en entreprises et travel manager, les chefs produits ou autres chefs de marchés spécialisés dans le tourisme. «Le tourisme est le levier de croissance économique, important pour les territoires», souligne à ce sujet Vincent Lhoste, Directeur du Salon Top Résa. «Ce marché génère en effet en France un chiffre d’affaires de 12.8 milliards d’euros et emploie 1.8 million de salariés. Le secteur du tourisme représente ainsi la plus grande balance excédentaire de l’économie française. Conscients des opportunités économiques liées à ce marché, les acteurs de la place travaillent à la promotion de leur activité et pour les organismes territoriaux, de leur territoire». Pour sa 20ème édition, Top Résa a ainsi accueilli plus de 26 000 visiteurs, soit 10 000 de plus que l’an passé ! Pour les recevoir, 1300 professionnels du tourisme ont tenu 380 stands. Parmi eux, les Offices de Tourisme français et étrangers ont été particulièrement actifs. Ils représentent en effet souvent la vitrine de leur territoire et accompagnent notamment les entreprises dans l’organisation de leurs manifestations professionnelles.
La France, terre d'accueil du tourisme d'affaires
mercredi, 02 juillet 2008 00:00 Écrit par La rédaction
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Les entreprises françaises et étrangères établies en France ont, en 2007, dépensé un volume global de 9.04 milliards d’euros sur le marché des groupes d’affaires, soit une hausse estimée à 2.7 % par rapport à 2006 (Coach Omnium/Bedouk, 2008). «Une conjoncture notamment favorable aux séminaires et conventions», souligne Emmanuel Dupart, Directeur Délégué de France Congrès.
Bien qu’elle reste chère, la France est donc toujours considérée comme une destination sûre, attractive et privilégiée. Elle est ainsi largement plébiscitée pour l’étendue de sa gamme d’équipements de qualité dans le secteur du tourisme d’affaires. Avec 120 centres de congrès, 80 parcs d’exposition, 650 TGV quotidiens, des aéroports nationaux et internationaux, le pays dispose en effet de tous les éléments nécessaires à l’organisation d’évènements professionnels. Le capital humain de la France fait également la différence. Ainsi, forte d’une concentration d’experts exceptionnelle, réunis autour de 71 pôles de compétitivité dont 17 à vocation mondiale, la France réunit toutes les conditions pour optimiser les rencontres professionnelles. Le pays est également la terre des incentives par excellence. De plusieurs siècles de civilisation, elle a gardé des merveilles d’art et d’architecture. 32 sites sont classés au Patrimoine de l’Unesco… Dernières en dates, quatorze communes dont Besançon ont, au mois de juillet de cette année obtenu cette prestigieuse reconnaissance internationale.
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Le raccordement aux réseaux européens de transport représente ainsi pour la région Pays de la Loire, comme pour l’arc atlantique, un enjeu essentiel. Les schémas de services collectifs de voyageurs et de marchandises répondent d’ailleurs bien à cette demande, en privilégiant une approche multimodale adaptée à la gestion logistique des flux de marchandises, notamment vers l’est et le centre de l’Europe et à l’international. Le port de Nantes/Saint-Nazaire, 4ème port français est ainsi le plus important de la façade atlantique française tandis que l’aéroport de Nantes-Atlantique, ne cesse pour sa part de se développer. D’ailleurs, un projet de nouvelle plate-forme aéroportuaire à vocation interrégionale sur le site de Notre-Dame-des-Landes devrait prochainement voir le jour. En matière ferroviaire tous les chef-lieux sont reliés à Paris par le TGV tandis que le maillage autoroutier est particulièrement dense (A11, A 83 et plan routier breton Nantes-Rennes et Nantes-Vannes).
Une économie performante
Quatrième région industrielle de France et seconde pour l’agriculture, La région Pays de la Loire possède des filières d’excellence, reconnues au niveau national : industries agroalimentaires, mécanique-matériaux, génie naval, aéronautique, bois, ainsi que plusieurs pôles de recherche de référence dans les domaines de l’agronomie, de la mécanique et des matériaux, de la santé, la mode… Le port de Nantes/Saint-Nazaire représente par ailleurs un atout essentiel en terme de logistique transport. Le tourisme enfin, constitue également un secteur économique, avec une puissante dynamique de développement.
Affectif et psychologie, vrais fondamentaux du succès
mardi, 01 juillet 2008 00:00 Écrit par La rédaction
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Comment vendre ou acheter une entreprise, en tenant compte des valeurs affectives et psychologiques. En effet, ne sont-elles pas de nature à poser quelques problèmes cruciaux voire à être la face cachée d'un échec non annoncé ?
Dans notre approche du jour, nous partons du postulat que les points techniques d'une transmission sont réglés (comptables, financiers, juridiques, fiscaux…etc). Nous supposerons que l'optimisation patrimoniale l'est aussi. Dans ces conditions que reste-t-il comme sujets importants à aborder, vous direz-vous peut- être ?
Il y a indéniablement dans la vente ou le rachat de l'activité d'une PME de nombreux aspects humains, à mille lieues des techniques. Loin de nous l'idée de réaliser un traité de psychanalyse appliquée au monde de l'entreprise. Nous n'en avons ni le temps, ni surtout le talent.
Les quelques remarques qui suivent ne sont pas exhaustives. En revanche, elles concernent tout autant le vendeur que l'acheteur car, finalement, de l'attitude du vendeur dépend pour partie et souvent la réussite de l'acheteur et inversement !
Le concept du gagnant-gagnant est ici d'absolue rigueur, plus que dans tout autre accord ou contrat.
Si le vendeur fait une trop bonne affaire, c'est qu'il aura probablement dissimulé des vices cachés qui, un jour ou l'autre, reviendront à la surface, ne serait-ce que sur le plan légal. Si c'est l'acheteur qui fait la trop bonne affaire, c'est qu'il aura à son tour abusé d'une situation qu'il peut finir par payer très cher, avec par exemple, son vendeur qui se mettrait à lui mettre tous les bâtons possibles et imaginables dans les roues, des semaines ou des mois après la signature.